Notre histoire

Little Stork, une marque pourtant très féminine au design cocooning, a été fondée par 2 papas au cœur tendre.

C’est en 2014 que Fred et Ben se sont lancés dans l’aventure Little Stork. Leurs points communs ? Deux pères de familles qui vivent à 200 à l’heure, dans un environnement ultra-connecté, tant dans leur vie professionnelle que personnelle.

Plusieurs événements touchants ont déclenché chez eux une prise de conscience immédiate : les ondes électromagnétiques ont des effets néfastes sur le corps humain, et nuisent particulièrement au bon développement de nos enfants.

Ils décident de profiter de l’éveil de la communauté scientifique et des quelques échos dans les médias français, pour donner aux jeunes parents un accès aux vêtements anti-ondes.

Dès son développement dans le ventre de sa maman, jusqu’à ses babillements dans les bras de ses parents, les vêtements anti-ondes Little Stork protègent les enfants tout au long de leurs premiers moments de vie.

Frédérick

Frédérick Mahieu, Co-fondateur et Directeur Associé

J’ai toujours eu un attrait pour les concepts innovants, ceux qui participent au développement du monde de demain. Je crois aussi que, de par mon parcours professionnel et mes études, j’ai toujours su que les ondes impactaient d’une manière ou d’une autre sur notre environnement ; rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme. Partant de là, les ondes influent forcément sur nous.
L‘élément déclencheur de la réflexion a été la prise en compte de la pathologie de mon fils aîné, qui est autiste. Bien évidemment, rien ne prouve que les ondes jouent un rôle sur l’autisme. Cependant, bien des éléments de notre environnement que nous pensions inoffensifs ont fini par s’avérer particulièrement néfastes : hier l’amiante, aujourd’hui les perturbateurs endocriniens... Tout cela a participé ou participe à des dysfonctionnements, des pathologies, voire des malformations, dont sont victimes en premier lieu nos enfants et leur organisme.

Benoît Duquesne, Co-fondateur et Directeur Associé

Nous avons eu une rencontre très touchante avec une femme de 60 ans lorsque nous étions au Maroc. C’était une personne électro-sensible. Elle était obligée de s’isoler de ses enfants et de sa ville. Nous avons eu un très long moment d’échange, un moment très enrichissant humainement. Son électro-sensibilité était déjà très difficile à vivre, mais le fait de vivre loin de ses enfants et de ses petits-enfants était sa plus grande souffrance.
Suite à cette rencontre, nous nous sommes rendu compte que nos solutions anti-ondes devaient intervenir à la genèse de l’être humain, dans le ventre de la maman jusqu’à la naissance. En 2011, nous avons trouvé un textile qui reproduit le principe de la cage de Faraday. Nous l’utilisons aujourd’hui dans tous nos produits pour protéger les mamans et les bébés des ondes électromagnétiques.
En 2014, nous avons lancé Little Stork, un projet ambitieux qui nous donne l’opportunité d’exposer qui nous sommes vraiment.
Benoît

Les spécialistes en parlent

Nous sommes aujourd'hui certains que les enfants sont plus exposés que les adultes du fait de leurs différences morphologiques et anatomiques. Ce ne sont pas de petits adultes
- Olivier Merckel, Chef de l’évaluation du risque lié aux nouvelles technologies à l’ANSES.